« L’épris de la lettre »
Recension de Vox par Vox de Maximilien Vox par Fabrice Colin dans Le Canard enchaîné.
Typographe, graveur, écrivain ou résistant : Maximilien Vox fut tout cela à la fois. Ses mémoires inédits restituent la vie foisonnante d'un amoureux du mot juste et des caractères bien trempés au service de l'écrit, médium indispensable à la liberté.
Un bouquin, c’est un auteur… et c’est plein d’autres choses. Frère du naturaliste Théodore Monod, Maximilien Vox (1894-1974) toucha à tout, passant, « tour à tour ou simultanément, par le métier de graveur sur bois, d’illustrateur de livres, de typographe autodidacte, d’employé de fabrication, de journaliste et d’écrivain, voire d’éditeur clandestin ».
On lui doit, entre autres, le logo des polars du Masque, les lettrines du Grand Larousse, le monogramme de la SNCF, une classification typographique qui fit autorité pendant six décennies et des ouvrages sur Napoléon (...).
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