Il n'y a de richesse que la vie

John Ruskin

Préface de Pierre Thiesset

Traduit de l’anglais par Pierre Thiesset et Quentin Thomasset

Lors de leur parution en 1860, ces essais ont scandalisé la bourgeoisie britannique. En plein culte du progrès industriel, John Ruskin, ce « Don Quichotte du XIXe siècle », s’attaque d’une plume acérée aux idéologues du capitalisme. Sa critique radicale de l’économie politique ébranle les fondements mêmes de cette pseudoscience, jusqu’à la définition de la richesse. Non, une société ne doit pas avoir pour but la croissance illimitée des forces productives, mais l’épanouissement de la vie, affirme ce livre devenu un classique.

paru le Vendredi 15 Novembre 2024

01/02/25

« Il n'y a de richesse que la vie »

Recension d'Il n'y a de richesse que la vie de John Ruskin dans Reporterre.

L’écrivain d’art engagé John Ruskin le démontrait dès 1860 : la vie, sa richesse, la joie qu’elle peut procurer, n’est pas au centre de la conception du progrès du capitalisme industriel, telle qu’élaborée par ses économistes vedettes, John

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24/01/25

« Contre le culte de Mammon des libéraux, John Ruskin s'oppose à un progrès qui ne se fixe aucun but moral »

Recension d'Il n'y a de richesse que la vie de John Ruskin par Philippe Vion-Dury dans Fracas n°2.

Amasser des richeses est-il source de richesses pour un peuple ? Non, répond John Ruskin. "Il n'y a pas de richesse que la vie." Ce qui pourrait aujourd'hui nous paraître un banal aphorisme de développement personnel fut, en 1860, en pleine

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01/12/24

« Un utopiste ! »

Recension d'Il n'y a de richesse que la vie de John Ruskin dans La Décroissance.

Notre journaliste Pierre Thiesset vient de retraduire les Quatre essais sur les premiers principes d'économique politique (1860) de John Ruskin (1819-1900), féroce critique de la civilisation industrielle et de ses idéologues économistes.

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